Partir dans le désert...

Accompagné de quatre gardes, Balian arrivit aux Portes de la ville. Il portait maintenant une armure de cuir, un sac en cuir, et en plus de son épée avait un nouveau poignard et une arbalète, il se sentait bien beau comme ça, qui plus est monté sur un cheval. Nous étions encore en pleine nuit, il n'y avait personne à la porte à part deux gardiens.

- Il est ou votre bonhomme ? lâcha Balian.

Mais personne ne lui répondit.

Balian garda un air grave lorsque le garde les menaça, mais intérieurement cela l'amusait. Combien de types lui avait déjà dit cela ? Ils allaient partir dans le désert, s'ils voulaient fuir il n'y aurait aucun problèmes... Pour lui tout du moins car il ne savait pas encore ce que valait son nouveau camarades de voyage, qui apparement était dans la même galère que lui et n'avait rien d'un "volontaire". Un turban masquait son visage, on ne devinait que ses yeux et son teint matte, un gars de N'Bel Heim quoi.

Quoiqu'il en soit, tout les deux allaient surement gagner beaucoup d'argent et des tas d'autres avantages lorsqu'il ramènerait le gamin à sa mère. Pour l'heure, Balian fixait l'étranger...

- Je vous suit monsieur le guide ! dit-il d'un ton sans humour.

Alors que les deux cavaliers commençaient à partir et à passer du trot au galop, Balian se retourna et avec sa main fit un petit signe tordue d'adieu à ses amis gardes. Une fois assez éloigné, il vint près de "Haîk".

- Alors, ou allons-nous ? T'as une idée de quelque chose parceque là moi je ne vois que du sable...

"...et tu ne verra que ça pendant un bon moment." Il accélera l'allure.
La lune éclairait l'immensité désertique, le silence régnait également. Seules deux silouhettes à cheval venaient se glisser dans ce décor gigantesque et arride. Haik jeta un oeil à l'homme appelé "Balian".
Un sourire s'affichait sur le visage de celui-ci. Cet espace impressionnant qui leur était offert devait expliquer cette bonne humeur.

"On va passer au prochain relais récolter deux-trois informations. Il y a de grandes chances qu'ils s'y soient arrêtés." cria Haik à son voisin.
Il ne savait pas trop si celui-ci l'écoutait réellement ou pas, ou si tout simplement il l'avait entendu avec ce vent.

Derrière une dune le voleur les regardait ils semblaient partir vers une contrée lointaine ...
Cela lui convenait .
Il tenta une aproche.
"euu ...je me prénomme caliban dal salan
et eu je me demandais si vous accepteriez que j'accompagne votre noble quète.J'ai cru comprendre que vous cherchiez le fils du pharaon je pourais vous aidez et a un moment ou a un autre vous aurez besoin de moi si il vous plait!"les supliait il sans pour autant montrer le moindre signe de faiblesse.

Le jour n'était pas encore levé alors qu'Haîk et Balian chevauchaient vers le prochain relais. Balian connaissait mal le désert, aussi laissait-il tout simplement son guide le conduire la-dedans.
Ils n'étaient pas encore si loin de la cité quand un jeune garçon apparus de derrière une dune... Balian l'écouta, et se demande immédiatement ce qu'il voulait "réelement".

- Si c'est pour l'argent petit, on en a pas te donner, la récompense ne sera que pour nous !

Y'en aurait-il seulement une ? Il ne le savait pas vraiment...

Haik, qui était resté un peu en retrait, s'approcha avec sa monture. Balian venait de s'entretenir avec un autochtone, et dans ce milieu là, il valait mieu se méfier des inconnus.
Il s'adressa alors au gamin positionné derrière Balian, penché devant le mome comme un père essayant de comprendre son fils.

"Qu'est-ce que tu veut ? on a rien à te donner, on commence déjà à manquer du strict nécessaire alors va mendier plus loin."

Il fit un demi-tour avec sa monture et s'apprêta à repartir, pensant que son acolyte allai le suivre.

"l'argent à l'heur qu'il ait ne m'interresse guerre je m'en vais de vouloire l'aventure qui me manque ,je ne pourais mandier mon honneur me l'interdit.J'aimerais également visiter ce nouveau continent sur lequel je me suis égarer."s'empressa de répondre cal voyant l'homme qui venait de lui parler tiquer il ajouta
"je vous présentye blondin,il montra son renard qui se crampa fierrement sur ces petites jambes.Il n'est ni fort ni grand .Il est comme moi, tout deux pouvont discutrer télépathiquement(orthographe?)nous sommes discrets et habiles . Je suis voleur et ensorceleur je pourais vous être utile à un moment ou a un autre ."

Balian, votré vers l'avant et le sourcil interrogateur, écouta attentivement le jeune "Cal". Pour lui, de toute évidence, il était face à un petit gars plein de courage qui, peut-être, ne se rendait pas vraiment compte des dangers auquels il s'exposait, le simple fait de se joindre ainsi à deux étrangers en étant déjà un !
Balian n'appréciait pas spécialement les compagnons, quand se ne sont pas des boulets ils vous attirent des ennuis ou pire, vous devenez amis avec eux, et la perte d'un être cher est pire que bien des choses...
Mais bon, ce gamin avait l'air courageux et compétent...

- Si tu as un cheval et que tu arrive à nous suivre, toi et ta petite bête, ça ne me dérange pas ! annonça t-il avec un sourire amicale.

Il se détourna alors, se remettant dans la direction par laquelle ils allaient...

[ HS : Et ben, rien que ça ! ]

L'immense créature jaillit du sable, soulevant des gerbes de poussières et formant une veritable crevasse mouvante autour d'elle, par ses simples mouvements. L'immonde créature était d'une couleur brune glauck, sa bouche s'ouvrant sur quatre bords de machoires pointus, présentant une dentition effrayante et bien fournis.
Après s'être dressé de tout son long, sur bien quatre ou cinq mètres de hauteur, la bête se laissa lourdement retomber au sol dans un bruit sourd, ses écaillers remuèrent et elle s'avança vers eux.

Balian poussa un cris long et grave, affichant la même tête qu'un homme qui aurait découvert que sa femme le trompait, visage qu'il avait souvent pus observer. Il détourna sa monture d'un geste fort et paniqué, sortant de l'autre main son épée et partant au galot en sens inverse.
Un rapide coup d'oeil lui indiqua une petite zone rocheuse escarpée vers le sud, pas très loin d'eux : Cela serai un bon endroit pour combattre le monstre dont l'élément était le sable.

Il bifurqua imméditament vers le sud, toujours à toute vitesse. Le ver frappait partout, remuait, poursuviait. C'était un festival de mouvement, de bruits fort et de sable volant. Les trois cavaliers partaient dans tout les sens. Balian était si agité qu'il ne voyait pas trop ou ils étaient. Il pointa son épée vers les rochers et tourna la tête vers ses camarades en hurlant " Par là !"

Aussitôt que le ver fut sortit de terre le dénommé Balian pointa son épée vers un endroit un peu abrité ...un rocher .Cal n'avait vu ce genre de bète que de loin durant sa traversée du désert séparant oji a n'Bel hem il ne savait pas bien si la roche arrèterait quoi que ce fut mais il incanta pour s'envoler en sa dirrection
"par le lévitus d'ici je m'envole,et mes jambes ne touchent plus le sol!"
il s'éleva dans les airs regardant la monstrueuse bète fondre sur eux il partit en direction du sud,ne sachant si c'était une bonne idée

Quant au troisieme personnage, il se sentait dépassé par les évènements. Lui qui avait pensé qu'il ne suffisait que de foncer vers les ruines du village afin de s'y cacher, son coéquipier avait eu un élan héroique plutot ambitieux. Maintenant, Haik était en plein centre d'un nuage de sable et de poussière. Il rabattit les oeillères de sa monture, et tenta de la calmer. On ne voyait que des ombres ainsi que la masse informe du ver géant qui tournait, se retournait, s'enfonçait dans le sol et en jaillissait avec fureur. Soudain, il vit l'une des ombres se détacher du sol et s'éloigner de lui, et il décida donc de la suivre. Il galopa à travers l'épais nuage de fumée, baissant la tête lorsque l'immense ver plongeait vers le sol. Lorsque sa vision s'améliora, il fut stupéfait de voir que c'était le jeune homme nommé Caliban qu'il avait suivi.

"Mais d'où est-ce que tu tiens ça toi?" hurla-t-il en sa direction.

(HS : sorry je pensais que t'étais plus jeune que ça, autant pour moi )

"je suis ensorceleur je peux contrer les lois de la physique et, bien que j'aimerais faire un débat,là-dessus je ne pense pas que se soit le meilleur endroit pour ça .
As-tu besoin d'aide?"cria cal pour tenter de couvrir le bruit que faisait le ver

Il jeta un regard interrogateur vers son interlocuteur. Le jeune homme semblait plein de ressources. Un ensorceleur...qui l'eu cru...
Il allai sans doute leur être d'une aide précieuse pour retrouver l'enfant kidnappé. Le ver se rapprochait dangereusement de leur position, il allai falloir trouver rapidement une solution.

"Et maintenant l'artiste? Si tu nous dévoilai le fond de ta pensée, ou un éventuel plan B face à ce monstre..." fit Haik en direction de Balian, l'arme au poing.

"C'est vous le patron!
par l'élémenterus que la terre s'ouvre et qu'à ma demande elle se recouvre."
sur ce un trou énorme apparu sous le ver qui en plongeant se retrouva 20 000 pieds sous terre
"par l'élémentérus je t'acquitte de ta mission,couvre ce trou de pierres pour le patron."d'énorme pierres se formèrent et il n'y eu plus de signe du ver .