Le Conseil avait été protégé par des mousquetaires, Garrys et quelques matelots, mais aussi chose surprenante par des citoyens venus spontanément prendre les armes.
Skeldon fut étonné de tenir plusieurs jours contre des attaques de mercenaires et de monarchiste avec l’aide de Démocrates et de Communistes. La raison était simple. Tout sauf le retour a l’ordre ancien. Peut être qu’une fois les monarchistes vaincus les dissensions entre les autres partis allaient être moins flagrantes se prenait a rêver Skedlon.
Les combats avaient souvent lieu la nuit. Le jour la ville se cloîtrait derrière ses volets.
Un soir un mousquetaire eu l’idée d’attaquer « La fleur de lys » une auberge semblant être le QG des monarchistes, leur palais étant désert. Leur mouvement s’essoufflait car ils avaient misés sur une victoire rapide et surprenante sachant parfaitement qu’une guerre civile sur le long terme serait à l’avantage du pouvoir. Garrys acquiesça. Frapper un grand coup la tête désorganiserait complètement ce qui reste du mouvement.
Le capitaine Skeldon, son officier Blumberg et 5 mousquetaires attaquèrent alors qu’un combat sanglant se livrait dans la rue devant l’auberge. Un mousquetaire fut tué pendant l’assaut.
La porte fut démolie par un coup de masse de Blumberg. A cet instant un tir de mousquet résonna et un autre mousquetaire tomba blessé dans l’entrée. Les 5 hommes restant entrèrent dans la pièce a toute vitesse. A gauche L’officier de quart et deux mousquetaires, a droite le capitaine et un soldat d’élite. Le centre de la pièce était un bastion de bois fait de tables empilées où se dissimulaient des monarchistes visant la porte. A peine entré Blumberg était piégé avec 2 soldats derrière des tonneaux de vin. Garrys était derrière une colonne porteuse avec le commandant mousquetaire, tous deux sabre au clair.
Une voix se fit entendre malgré le vacarme au dehors.
-Skeldon ! Tu peux encore t’en tirer ! Tu n’as aucune chance ! Rend toi !
La voix venait du bastion devant la cuisine. Le capitaine la reconnaissait.
-William ! C’est fini ! On dit que des troupes de Nibel’heim arrivent avec le président pour nous prêter main forte ! Même si vous nous tuez cela ne vous sauvera pas. Tous les cadres du parti commanditaires de ce Putch seront jugés pour haute trahison !
Pendant qu’il parlait Garrys informait par signes son « commando » de passer à l’attaque à son signal.
Il fit signe d’attaquer dès que sa phrase fut terminée
Des coups de feux retentirent, des tirs d’arbalètes fusèrent, mais la charge fit son effet. Difficile de viser les assaillants dans une si petite pièce et avec si peu de temps pour épauler. Un tir toucha à l’épaule gauche Garrys. Il sauta par-dessus une table renversée et retomba avec son sabre sur un ennemi. Il sortis l’épée de son corps et l’envoya siffler dans le cou d’un autre. Parade, frappe, frappe, frappe, parade…Les coups s’enchaînaient mécaniquement.
Le capitaine de corvette William Krieg attaqua Skeldon pour un duel dans les règles. Une chose est sur il n’a jamais digéré que « La Nation » soit confiée a Skeldon et non a lui. Garrys attaqua sans relâche son Ex compagnon d’armes, Mais Krieg qui se battait une main dans le dos était pourtant aussi doué que lui et parait tous ses assauts.
Ils reculèrent dans la cuisine. Garrys enroula l’épée de William et rabatis les deux armes sur un coin de mur. Un violent coup de tête frappa krieg qui lâcha son épée pour enchaîner trois coups de point rapides dans le ventre de Skeldon, le saisir par la tête et la lui claquer sur le mur. Le choc fit lâcher son épée lui aussi a Garrys qui saisis une poêle et frappa de toutes ses forces et plusieurs fois l’épaule de Krieg. Ce dernier hurlait de douleur mais se baissa et saisi son épée. Un pied du Capitaine de « La Nation » la bloqua au sol et un autre frappa au visage krieg si violemment qu’il passa par dessus un amas de casseroles dans un vacarme assourdissant. Garrys s’approcha.
William sortis de l’amas de ferrailles et décocha un coup de point. Puis il récupéra son épée et pris la fuite vers le centre de la pièce où le combat durait. Skeldon saisi la sienne et coura après lui en se tenant l’épaule, le front sanglant. Blumberg tenta de stopper Krieg qui cherchait à atteindre le premier étage. En moins de 5 secondes il fut transpercé par le Putchiste. Plein de rage garrys l’attaqua mais se dernier parait ses attaques pourtant rapides en grimpant l’escalier.
Ils étaient maintenant au premier, et combattaient jusque dans les chambres. Porte, vase, meuble, tout était bon pour frapper l’adversaire. Après une touche sur la main William lâcha son épée. Skeldon le pris et le plaqua sur une poutre. Son arme se lança pour percer le visage du traître mais ce dernier esquiva et mis un coup de coude a Garrys qui lâcha son épée sous le choc. Essoufflé il trouva en lui juste assé de force pour saisi a bras le corps son ennemi et se jeter avec lui par la fenêtre ouverte. Garrys se raccrocha de son unique bras en état de marche à une tuile.
William gisait inanimé sur les pavés où son sang commençait a couler. Les forces du capitane vont bientôt lâcher et ses chevilles se briser sous l’impact…Des larmes de rage coulaient sur sa joue. Pas comme çà…Pas Maintenant… « A l’aide » murmura t’il faiblement le visage ensanglanté.
Sujet: L'attaque du QG monarchiste 
Dim 9 Déc - 13:52
