Le Monde De Fusura
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Le Monde De Fusura

Jeu de rôle par écris, incarnez le personnage de votre choix et vivez dans le monde épique de Fusura, ou tout est possible...
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

 

 L'histoire des cinq cités et de Fusura

Aller en bas 
AuteurMessage
Destin
Admin
Admin
Destin


Nombre de messages : 50
Cité dans Fusura : ...
Métiers dans Fusura : ...
Date d'inscription : 14/06/2007

L'histoire des cinq cités et de Fusura Empty
MessageSujet: L'histoire des cinq cités et de Fusura   L'histoire des cinq cités et de Fusura Icon_minitimeVen 15 Juin - 20:36

L’origine de Fusura et des cinq cités :
Dans chaque monde, dans chaque univers et dans chaque époque apparaît La Porte. Nul ne sait pourquoi elle existe, ni ou elle se trouve car elle passe son temps à vagabonder dans les univers et parfois dans l’esprit même des individus. La Porte à le pouvoir « d’attraper » n’importe quel être, ou qu’il se trouve dans le temps, géographiquement et universellement, elle peut y compris capturer un être qui n’existe qu’en rêve, et celui-ci devient alors totalement matériel, avec une âme propre.
La Porte envois alors cet individus sur un monde reculé ou des personnes de partout se retrouve. Pourquoi ? Nul ne le sait… C’est sur cette planète que le terrien contemporain peut rencontrer le sorcier ou le vampire, le spartiate côtoyer l’agent du seed ou le jaffa, le ninja combattre le sith ou le dragon, ou bien le hobbit commercer avec le tau ou l’elfe…etc. Toutes les rencontres sont possibles, car La Porte choisis et emmène sur ce monde toutes sortes de personnes sans distinctions aucunes…
Les premiers individus arrivèrent et se rencontrèrent sur ce monde à une époque qui fut nommée « l’an 0 de Fusura », Fusura, fusion en latin, devint le nom de cette planète, une planète ou existent tout de même des formes de vies animales, et aussi d’autres races bien plus discrètes et mystérieuses…
Nous sommes actuellement en l’an 1345 de Fusura, depuis des siècles La Porte continus d’amener des gens de temporalité, mondes et univers différents, sans que personne n’est encore su pourquoi ni n’est trouvé comment arrêter ce phénomène. Les gens qui arrivent là sont condamnés à vivre sur ce monde.
Avec le temps, des groupes se sont créés, il existe actuellement cinq villes sur Fusura, qui ont chacune dut se bâtir et créer ou réinventer des techniques et technologies. Si beaucoup d’individus viennent de monde avancé, l’électricité et le moteur n’en sont qu’à leurs balbutiements, et côtoient la magie qui les remplace aisément dans certains cas.
Les cinq villes du monde sont chacune différentes et prônent des valeurs nettement distinctes. Ici vous sont présenté leurs histoires, forces et faiblesses, mentalité, ainsi que leurs drapeaux (les symboles et couleurs n’ont pas les mêmes significations d’un pays à un autre).
Revenir en haut Aller en bas
Destin
Admin
Admin
Destin


Nombre de messages : 50
Cité dans Fusura : ...
Métiers dans Fusura : ...
Date d'inscription : 14/06/2007

L'histoire des cinq cités et de Fusura Empty
MessageSujet: Re: L'histoire des cinq cités et de Fusura   L'histoire des cinq cités et de Fusura Icon_minitimeVen 16 Nov - 15:59

ZARHALL (Adjectif : Zarhélites).

L'histoire des cinq cités et de Fusura Zarhal10


Histoire : Selon les plus anciennes légendes, Zarhall fut la toute première cité à avoir été bâtis, entre l’an 0 et l’an 10, principalement par des amenés de La Porte. A l’époque, la région des Terres Mortes était verte et fertile alors que le volcan d’Alorid sur lequel la cité s’appuis était calme et endormis. La curiosité poussa les premiers occupants de la cité a explorer la région et très vite ils se rendirent compte que mise à part les animaux et les plantes il n’y avait pas d’autres formes de vie qu’eux. La péninsule était elle-même coupée du reste du continent par les chaînes de montagne, la Porte Noire n’existant pas à l’époque et les petits passages côtiers n’ayant pas encore été découvert.
Ainsi commença la vie des Zarhélites, ceux-ci ne se doutant pas de ce qui allait leur arriver. On n’ignore exactement comment, mais les quatre seigneurs du chaos commencèrent sournoisement à faire germer leurs noires idées dans l’esprit des habitants. Certain pense que l’isolement de ces individus les poussèrent à développer d’eux-mêmes un esprit « mauvais », profitable à l’apparition des démons, tandis que d’autre estime que le Volcan d’Alorid serait en réalité un passage vers les royaumes infernaux.
Ainsi, Tzeentch, Khorne, Nurgle et Slaanesh pervertirent petit à petit les habitants de la cité. Certains sentirent une catastrophe imminente et partir le plus vite possible alors que, aux environs de l’an 250, le peuple se souleva massivement. Une énorme guerre civile éclata entre les quatre factions chaotiques et désormais depuis cet instant, la loi du plus fort ou du plus perfide s’imposa en Zarhall. C’est également à cette époque que l’Alorid explosa et détruisit la région, transformant la péninsule en un désert de cendre, de lave et de marais nauséabond, recouvrant le ciel d’une nuit éternel.
Le reste de l’histoire de la ville se résume en une succession de conflits civils, de coups d’états et de croisades noires lancés contre les autres cités. Parmi les dirigeants (qui portent des titres aussi divers que Roi, Empereur ou même Dieu) on peut en noter quelque uns d’importances comme Zargoth II qui, en 266 lança une grande politique pour fournir à manger aux peuples, non pas par pitié mais pour avoir un peuple nombreux et productif. Il y eu aussi le célèbre Morgrim le Noir qui fit explosé des pans entiers de montagne pour créer un passage vers le reste du monde, qui allait devenir la Porte Noire (achevé en 278). D’autre comme Juvanéuss en 350 furent explorateur et scientifique, alors que certains, à l’instar de Gulgon le fou, furent de puissants rois sorciers. En tout et pour tout, on note entre 315 et 1206 près de 11 grandes croisades noires lancés contre Rackaroch, 7 contre N’Bel Heim et 3 contre Oji (lancés depuis la mer), seul Port-la-Belle à échappé depuis à ces attaques.
Un autre dirigeant d’importance est Vardar le noble qui, en 1206, entama des négociations qui forgèrent l’actuelle époque de paix entre les cités. C’est aussi lui qui réussi à imposer un drapeau unique à la cité : le mauvais œil, symbolisé en mauve avec trois larmes sur un fond noir (couleur du deuil, de la mort).

Aspect et sociétés: Zarhall est une immense cité fortifiée qui prend sa base au pied du volcan d’Alorid et se prolonge jusqu’à son sommet, au bord du puit de lave (celle-ci s’écoulant du côté non urbanisé). Les rues extrêmement serrées sont composées de bâtiments très hauts d’allure gothique. On compte un grand nombre de tours et de petites forteresses à l’intérieur même des remparts et la cité en elle-même est pareille à un immense labyrinthe.
L’ambiance générale est nauséabonde, on trouve des rues marchandes extrêmement fréquentées dotées d’un pourcentage important de tavernes, bordels et armureries. Certains secteurs sont au contraire totalement à l’abandon. Les rues, les habitants et les commerces sont soumis à l’autorité des quatre grands groupes qui se partagent la ville et maîtrisent les tenant et aboutissants économiques.
Zarhall, malgré les épidémies, la violence omniprésente et la malnutrition voir sou nutrition, possède un grand nombre d’habitants, le plus élevé des cinq cités. Cela est dû aux taux de naissances énormes (dû à l’absence quasi complète de moyens de contraceptions et de préventions, d’esprit moral mais aussi d’un taux ahurissant de violes) allié au fait que la cité semble attiré beaucoup plus d’amenés de La Porte que les autres villes.
On estime que les deux tiers des habitants sont mal logés et que la quasi-totalité du troisième tiers est « nomades » ou sans-abri. Les fortunés vivants dans de vrais logis aménagés représenteraient 5% de la population. L’esclavage est toujours toléré dans cette ville et très présent. Au niveau de la religion, on autorise officiellement toutes les croyances, mais officieusement les quatre cultes chaotiques mènent une répression sévère contre tous les autres dogmes.
En matière de frontière, on estime que presque toute la région des Terres Mortes est rattachée à Zarhall mais il ne la contrôle en réalité pas vraiment. On trouve parfois quelques villages de barbares fous dans la région qui sont soumis, en principe, à la cité. On trouve aussi des points de garde fortifié aux trois passages menant au pays, surtout à la Porte Noire, et des mines un peu partout sur les bords des régions montagneuses.

Production et Economie : Depuis les accords de paix de Vardar le noble, Zarhall commerce avec ses voisins, cependant elle n’a pas grand-chose à échanger. La cité vis principalement en autarcie, les cultures d’algues, de plantes et de créatures élevés dans les égouts nourrissent à peine la population et, de toute façon, n’intéressé pas les autres cités (qui ne mangeraient jamais ça). L’autre ressource de nourriture sont les animaux chassés dans la région (souvent des créatures effrayantes à la viande mauvaise) dont les os et peaux s’échangent parfois comme produit de luxe. La vraie richesse de la cité est le minerai. Or, Argent, Cuivre, Charbon, Fer…tout est récolté par les mineurs surexploités et c’est bien là la seule richesse de la ville. Les métaux offre à Zarhall un armement important mais aussi de la nourriture, des épices et des produits de luxe pour les riches, venant tout droit de N’Bel Heim principalement, mais aussi de Port-la-Belle. Il existe aussi un marché de service, mais cela est d’avantage rare, les Zarhélites achetant des connaissances ou des spécialistes censé former certains individus triés sur le volet sur place. A savoir qu’à Zarhall les dignitaires ou représentants étrangers officiels sont extrêmement protégés, la cité étant pour le moment dans une ère d’expansion économique et d’enrichissement qui passe donc par l’aide des autres villes.

Relations Internationales : Rackaroch est craint et les Zarhélites s’en méfient énormément, les considérant comme les meilleurs guerriers. Ils ne font pas de commerce avec eux car la cité des chevaliers ne le souhaite pas. N’Bel Heim est très appréciés car c’est un pays riche avec qui Zarhall fait la majorité de son commerce. Port-la-Belle est considéré comme une cité riche habitée par des peuples faibles, Zarhall fait très bonne figure avec eux mais rêve de les attaquer depuis longtemps s’il n’y avait pas Rackaroch juste à côté, en effet ils ne semblent pas craindre les armes à feu contre lesquelles ils n’ont jamais combattus. Oji est mal connus, en raison de la distance et ils font peu voir pas de commerce, mais Zarhall connaît les Samouraïs et les ninjas et les craints beaucoup.

Le Gouvernement : Bien que le régime soit généralement absolutiste, il arrive parfois qu’il y ait des variances en fonction de comment le despote (qui s’affuble de n’importe quel titre) s’est retrouvé sur le trône. Mais généralement, c’est un despote absolue mis en place par l’accord des quatre groupes chaotiques (c’est généralement le plus puissant qui décide) ou d’un coup d’état. Il est souvent entouré de cinq conseillés.

Les groupes politiques et militaires : Au sens propre il y en a quatre, chacun représentant d’un des hauts dieux du chaos et commandant une partie de la ville.

- La Horde : Disciple de Khorne, le dieu de la destruction et de la violence, la Horde est essentiellement composés de guerriers ultra violents mais aussi de quelques sorciers destructeurs. Ce sont généralement des gens très nombreux mais mal organisés qui ont tendance à foncer dans le tas et se complaisent dans les pillages et les massacres. Comme il est plus facile de frapper que de raisonner, énormément de guerriers rejoignent ce groupe, qui est le plus important des quatre, mais seul les plus intelligents et les plus compétents gagnent les grâces du dieu du chaos. Ils commandent plusieurs forteresses et les murs de la ville, ainsi qu’un secteur publique réputé comme bordelique et chaotique à souhait.
Ses guerriers d’élite sont de puissants combattants déments très lourdement armés, les Berserks de Khorne.

- Les Pestiférés : Les adorateurs de Nurgle, seigneur de la déchéance, de la putréfaction et du désespoir. Ils sont sadiques, vicieux et pourris, atteint de maladies virulentes qui ne les tus pas et qu’ils propagent. Pour eux, il faut diffuser la mort et la tristesse telle une maladie pour anéantir le monde, amenant l’univers vers sa fin inéluctable. A cause de leur mentalité très particulière et de leur aspect souvent repoussant, les Pestiférés ne sont pas très nombreux mais cependant ils maîtrisent les égouts de la ville ainsi que certains secteurs délaissés.
Les combattants d’élite sont les Immondes, des combattants discrets et rapides maîtrisant l’assassinant et les arts martiaux. Ils sont doués pour tuer à l’aide de poisons. Ils répandent des maladies sur leur sillage.

- Les Tuniques Noires : Opposé de Nurgle, les Tuniques Noires vénèrent Tzeentch, le seigneur du changement. Pour eux le monde ne doit pas s’autodétruire mais au contraire se transformer pour accomplir de nouveaux dessins. Les Tuniques Noires sont relativement nombreux et intelligents en comparaison d’autres et sont la deuxième force après la Horde. Certain d’agir en fonction du désir de leur dieu, ils tentent « d’améliorer » Zarhall et rêve dans faire une sorte d’état totalitaire extrêmement stricte ou chacun auraient sa place. Portant des uniformes noirs impeccables, ils font régner un ordre de fer sur les différents secteurs importants qu’ils dominent (notamment ceux des sciences et du commerce), se « débarrassant » d’individus qui sont pour eux nuisibles (sans-abri, handicapés, personnes âgés…etc.) en les faisant travailler jusqu’à la mort. Ils font également de la sélection naturelle en gardant captif certaines personnes jugées « saines » qu’ils éduquent et musclent afin de les faire se reproduire pour créer une « race parfaite ».
L’élite de ce groupe sont appelés Esprits Déments, ce sont pour la plupart des hommes qui ont perdus leurs facultés de ressentir et, de ce fait son complètement tourné vers leur mission et n’ont pas de sentiments, donc pas peur de la mort. Ce sont des guerriers accomplis, plus basé sur la technique et la discipline que la force brute.

- Les Pervertis : Ils sont à l’opposé de Khorne et vénère Slaanesh, le seigneur du vice et des plaisirs. Pour eux anéantir n’est pas nécessairement utile, ils cherchent avant tout à faire des expériences de tous les genres qui soient, et cela concerne toujours le domaine des drogues, du sexe et de la mort. Peu nombreux et composés principalement de magiciens et de bourgeois, ils organisent des orgies macabres se terminant souvent dans le sang et mettent au point toute sorte de drogues (souvent à base de composants humains), sélectionnant des individus dans la population qu’ils capturent et font esclaves pour leur seul désir. Ils pratiquent aussi une forme d’art étrange, irréel et apparemment tout droit sortis de l’enfer, s’amusant à créer des « musiques » qui tuent ceux qui les écoutent. Ca n’est pas une force militaire majeure mais ils possèdent quand même des combattants (souvent drogués) qui contrôlent les quartiers magiques et artistiques.
Leur élite, les Duellistes, sont des combattants à l’équipement divers et variés qui combattants souvent sous l’emprise de drogues. Cherchant le plaisir partout, leur cinq sens sont décuplés.

Notez qu’il n’y a pas d’armée nationale. En effet lorsque le pays se
soulève les quatre groupes sont chargés eux-mêmes de monter et d’organiser leurs armées, souvent en prenant en plus des volontaires forcés dans le peuple. Chacun possède ainsi ses guerriers, archers, élites personnelles, espions, machines de guerre et cavaliers (de chevaux ou créatures plus monstrueuses). Il existe aussi des navires, placés loin sur les côtés extérieurs, mais ils sont peu nombreux.

L'histoire des cinq cités et de Fusura Mordor10


Dernière édition par le Sam 17 Nov - 14:36, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
Destin
Admin
Admin
Destin


Nombre de messages : 50
Cité dans Fusura : ...
Métiers dans Fusura : ...
Date d'inscription : 14/06/2007

L'histoire des cinq cités et de Fusura Empty
MessageSujet: Re: L'histoire des cinq cités et de Fusura   L'histoire des cinq cités et de Fusura Icon_minitimeVen 16 Nov - 16:24

RACKAROCH (Adjectif : Rackarois).

L'histoire des cinq cités et de Fusura Rackar10


Histoire : Aux alentours de l’an 250, alors que Zarhall va bientôt devenir une cité noire, certains habitants sentirent le danger venir et quittèrent les lieux. Ils traversèrent alors les hautes chaînes de montagnes jugées infranchissables, certains y laissèrent la vie, mais heureusement beaucoup atteignirent l’autre côté. Quelques temps plus tard, ils arrivèrent dans une belle vallée verdoyante au sol riche, surplombée d’une haute montagne protectrice. C’est là que les premiers fondèrent Rackaroch. Au départ, la cité était pareille à une cité campagnarde vivant de ses récoltes, mais très rapidement les Zarhélites fous arrivèrent et attaquèrent. La première croisade noire eu lieu en 315 et une autre lui succéda peu de temps après en 320. Par deux fois c’est les grottes naturelles de la montagne qui sauvèrent les Rackarois. Dès lors ils y établirent le siège du pouvoir et les magasins, taillant et agrandissant, les villages fermiers en contrebas n’étant plus que nourriciers.
La société se durcissant afin de résister aux ennemis (pas seulement Zarhall, mais aussi des barbares), c’est de cette époque que naquit les ordres chevaleresques. En l’an 400, la cité est bien établie dans la montagne. En 540, Rackaroch commence à construire de petits forts dans la vallée et agrandit ses sols agricoles, gagnant ainsi son image actuel : une haute cité taillé dans la montagne surplombant une dizaine de villages et d’immenses champs…
Rackaroch subit d’autres croisades noires, 11 en tout, et porta également la guerre chez ses voisins barbares mais aussi de N’Bel Heim par deux fois. Ils sont actuellement en paix avec tout le monde. L’emblème de la cité est un blason scindé en deux, bleu à gauche (noblesse, chevalerie) et rouge à droite (la guerre), avec une hache et une épée croisé devant (symboles martiaux et justiciers).

Aspect et sociétés : Rackaroch en elle-même est une immense cité impressionnante taillé dans la roche de la montagne. De là, elle veille sur ses possessions, des villages en contrebas de la vallée essentiellement tournés vers l’agriculture et l’élevage, alors que les sièges gouvernementaux, artistiques, scientifiques, magiques et commerciaux se situent dans la cité.
Les Rackarois sont des gens fiers, la classe moyenne est assez pauvre mais se suffit pour vivre, bien qu’il existe également des mendiants et des nécessiteux. Les nobles sont nombreux et ne manquent pas de grands choses même si leur niveau de vie est très inférieur à celui des bourgeois des autres cités. Certains invoque un manque de raffinement de leur part, les Rackarois étant avant tout des gens bornés, méprisant, fier, et droit. La plupart des Rackarois croit en un dieu unique, c’est la religion la plus répandus mais on trouve aussi d’autres minorités (notamment des polythéistes) mais qui taisent un peu leur présence.

Production et économie : Rackaroch n’accepte aucun échanges commerciaux avec Zarhall qu’elle considère comme sa rivale et son ennemie, ce malgré la paix. Rackaroch commerce volontiers tout ce qu’elle produit si l’échange est équitable : nourriture, or, argent, bière, vin, produits de luxe…etc. tout sauf le fer et le bois qu’elle conserve jalousement pour ses armées et ses outils.

Relations Internationales : Zarhall est tenus en horreur, c’est l’ennemi par excellence et la paix actuelle est uniquement pour eux, aux yeux des Rackarois, une façon de se réarmer en vue d’une prochaine nouvelle croisade. La cité n’a aucune relation commerciale ou autre avec eux. Port-la-Belle est en principe le premier allié de Rackaroch, mais les chevaliers se méfis du système républicains et encore plus de la mentalité pacifiste et philosophe de la ville. Pour eux, Port-la-Belle est un allié dont il faut se méfier et qui n’est pas près au combat, matériellement et moralement, jugeant avec mépris l’arsenal d’armes à feu. N’Bel Heim est jugé avec méfiance, ils font beaucoup de commerce ensemble mais Rackaroch se méfis de cette ville lointaine aux croyances et coutumes différentes de la leurs. Oji est jugé de la même manière et ils font peu de commerce ensemble (surtout à cause de la distance). Les Rackarois estime d’ailleurs que les Samouraïs et les Ninjas leurs sont inférieurs mais qu’ils sont les guerriers les plus à leur niveau.

Le Gouvernement : Rackaroch vit sous un système féodale. Les chefs des ordres chevaleresques se réunissent et élisent le roi à vis qui peut agir comme bon lui semble mais toujours avec l’accord des autres chefs. Il est entouré du Champion, à qui il délègue parfois le commandement de l’armée, d’un Trésorier qui gère les finances et le commerce, d’un Représentant du peuple élu par les habitants non nobles les plus riches, d’un Conseiller délégué à la magie et à la religion et d’un Conseillé délégué aux arts et aux sciences.

Les Groupes Militaires :
Il n’existe aucune opposition aux rois actuellement dans la cité, quand aux religions chaque ordre a le droit de vénérer qui il veut.

- La Légion : C’est le nom donné à l’armée régulière de Rackaroch. Elle est uniquement composée de réservistes, des hommes du peuple appelés à se battre lorsque cela est nécessaire (chacun à obligation d’en faire partit dès l’âge de 15 ans). Il n’y a pas de cavaliers, seul les chevaliers ayant droit à ce privilège. Au combat, ces hommes sont guidés par des chevaliers. La composition est :
• Piétons : Soldats de base, ils sont le plus souvent armés de hallebarde ou de lances et de boucliers, plus rarement de haches et d’épées. Certains font aussi office de police et de garde à temps pleins.
• Archers : Le gros de la légion, ils portent des arcs longs et portent des armures légères. Comme les chevaliers n’ont pas le droit d’utiliser des arcs, qualifiés d’armes de lâches, les archers de la Légion restent très important pour Rackaroch et ils possèdent des arcs bien taillés, utilisant des flèches crées pour percer l’acier.
• Machines de guerre : La Légion possède des catapultes, des trébuchets, des béliers, des scorpions et des tours de siège ainsi que, dans une moindre mesure, quelque petits canons postés le plus souvent aux meurtrières.

- L’Ordre de Rackaroch : Ordre le plus important, ils représentent un tiers des chevaliers de la cité et est le premier à avoir existé. Ils sont composés de tous les nobles de la ville, des simples chevaliers aux princes. Il n’y a pas de standard dans cet ordre, les hommes portent des armures et armes personnalisées et ne vénèrent pas tous le même Dieu, cependant ils ont obligation de suivre le code du chevalier et doivent se battre avec l’armure lourde et uniquement des armes de corps à corps. Politiquement, les Chevaliers élisent un Chef une fois par an qui se fait la voie de l’ordre, mais tout ces guerriers sont si nombreux qu’on trouve toute sorte de mouvances politiques, certains sont royaliste, d’autre plutôt réactionnaires, ce qui fait que des conflits internes éclates souvent. L’Ordre de Rackaroch n’a pas de « base » proprement dites, ils sont présents un peu partout dans les forts et villages.

- L’Ordre du Temple : Ordre de chevaliers très anciens, né aux alentours de l’an 410, les Templiers sont reconnaissable à leurs toges blanches ornées d’une croix rouge qu’ils portent par-dessus leurs armures. S’ils obéissent scrupuleusement au code du chevalier, qui doit s’armer d’une certaine façon et se battre pour son pays, les Templiers agissent souvent pour leur propre compte. Ils sont assez détachés, ont leur propre culte religieux et accomplissent toute sorte de missions données par des étrangers pour leur propre fortune. Certains montre ainsi du doigt les Templiers, comme étant de riche fanatiques en qui on ne peut avoir confiance, mais jusqu’à maintenant ils se sont toujours montrés loyaux et féroces au combat, pour Rackaroch et le roi. L’Ordre est dominés par un Grand Maître, élu à vis par ses pairs. Les Templiers possède également leurs propres lieux de culte et gèrent leur propre forteresse.

- L’Ordre des Hospitaliers : Cet ordre naquit vers l’an 530. Sous leurs airs austères, portant des tuniques noires ornées d’une croix blanche par-dessus leurs armures, les Hospitaliers sont en réalités les chevaliers les plus tournés vers l’autre. A la fois guerrier et moine, ils sont aussi médecins très souvent. Ils prêchent la bonne parole, soignent et aident les gens dans le besoin, tant moralement qu’au niveau de leur santé. Fidèles à leur cité, ils aident néanmoins tout le monde, même les étrangers, bien que leurs actions se fassent principalement à Rackaroch. Avec cette réputation, il est arrivé que les Hospitaliers soient sous-estimés par leurs adversaires, qui se rendirent bien vite compte de leur erreur car ceux-ci sont tout aussi capables au combat que les autres. Ils sont dirigés par un Grand Maître élu à vis par ses pairs et possèdent des temples ou il soignent les gens un peu partout, leur base étant un grand hôpital dans Rackaroch même.

- Les Spartiates : Les Spartiates furent à l’origine des guerriers d’un autre monde que Fusura. Certains se retrouvèrent à Rackaroch ou, conscient qu’ils ne rentreraient jamais chez eux, décidèrent de s’associer à la cité en l’an 707. Les Spartiates sont très différents des autres, ils vivent dans leur propre village dans la plaine en contrebas ou un seigneur héréditaire les dirige et ou ils vénèrent plusieurs Dieux. Tourné complètement vers le combat, les enfants sont formés dès l’âge de 7 ans à devenir combattant, toute leur population étant très accès sur le combat, la gymnastique, mais aussi la musique et la danse. Si l’honneur de ces guerriers arrogants est semblable à celui des chevaliers, ils ne se battent pas de la même façon, combattants quasiment nus pour une meilleure liberté de mouvement, utilisant la lance, le bouclier et l’épée courte pour former des phalanges de combat protectrices et bien pensée. Certains se méfient d’eux, jugeant qu’ils sont rattachés à Rackaroch uniquement par nécessité, mais les puissants Spartiates n’ont jusqu’à maintenant jamais faillit à leur parole qu’ils jugent sacré.

- Les Amazones : Les Amazones sont de farouches guerrières dirigées par une Grande Prêtresse élu à vis par son peuple et vénérant plusieurs dieux. Elles apparurent dans la Grande Plaine vers l’an 800 et devinrent rapidement une menace. Vaincus par les armées de Rackaroch, les survivantes prêtèrent allégeance au roi de l’époque, qui comprit que leurs facultés martiales seraient sûrement utiles à la ville. Depuis cette époque, les Amazone se sont établis dans un fort situé à la lisière de la forêt au sud de Rackaroch, ou elles perpétuent leurs traditions. Vivant uniquement entre femmes, elles ne fréquentent les meilleurs hommes que pour se reproduire, formant leurs filles aux combats, un type de combat sans armures voir en armures légères, se battant à cheval parfois à l’aide d’armes de corps à corps ou d’arcs (certaine vont jusqu’à se couper un sein pour mieux tirer). Depuis leur allégeance, les Amazones abandonnent leurs fils aux familles de paysans alentours, mais certains les soupçonnent encore d’en tuer ou mutiler certain, voir de les conserver comme esclaves, mais comme personne n’est entré dans leur fort, personne ne le sait. Quoiqu’il en soit, elles restent très mal vu, en raison de leur sexe, mais aussi du mystère qui les entoure et de leur côté un peu « dissident », bien qu’elles n’ont jamais trahis.

- L’Ordre de la Lame Noire : Fondé aux environs de l’an 1000, cet ordre très mystérieux est composé de chevaliers spécialisés dans l’art de récolter des informations, d’infiltrer et d’assassiner « à la Rackaroise », c'est-à-dire en armure et à l’aide de grosses armes. Composés de peu de membres, cet ordre est dirigé par un Chef élu par le roi en personne, en effet la Lame Noire est quasiment le seul des groupes chevaleresques à dépendre réellement du roi. Les membres sont souvent des orphelins ou des chevaliers déchus, plus rarement des membres sans antécédents l’ayant rejoint de leur propre gré. Leurs armures varient, mais ils aiment à arborer des tuniques noirs et blanches, orné de fleur de lys pointus, de cœurs brisés, de croix ou d’autres symboles légèrement morbides. Ils ne montre jamais leurs visages et cachent leur identité, et restent assez mal vus par les autres qui considèrent qu’ils n’ont aucun honneur.

L'histoire des cinq cités et de Fusura 84910


Dernière édition par le Jeu 22 Nov - 3:43, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
Destin
Admin
Admin
Destin


Nombre de messages : 50
Cité dans Fusura : ...
Métiers dans Fusura : ...
Date d'inscription : 14/06/2007

L'histoire des cinq cités et de Fusura Empty
MessageSujet: Re: L'histoire des cinq cités et de Fusura   L'histoire des cinq cités et de Fusura Icon_minitimeVen 16 Nov - 16:26

OJI (Adjectif : Ojéens).

L'histoire des cinq cités et de Fusura Oji10


Histoire : Les premiers bâtisseurs de cette cité du sud étaient probablement des amenés de La Porte d’origines asiatiques qui posèrent là les premières pierres aux environs de l’an 210. Cité avancée, Oji connut par moment des troubles intérieurs mais resta globalement en paix, faisant fleurir sa culture, son art et ses connaissances, mais également les domaines martiaux avec les fameux ninjas et samouraïs qui commencèrent à exister entre l’an 300 et 400. Oji crus très longtemps être seul au monde, ses explorations maritimes et terrestres lui révélèrent l’existence de peuplades mais pas d’autres cités. Elle connut ainsi la naissance de N’Bel Heim et les deux nations furent un temps ennemis avant de commercer énormément et de beaucoup échanger l’une de l’autre. C’est le contact de N’Bel Heim qui lui fit connaître l’existence de Rackaroch et Zarhall, qu’Oji ne tarda pas à devoir combattre pour aider son allié du désert à se défendre. La ville connut par la suite elle-même des attaques de Zarhall lancés depuis la mer.
Avec ses qualités dans tous les domaines, Oji semble à la fois une ville figée dans ses traditions mais pourtant très tournée vers les nouvelles découvertes. Son drapeau présente un soleil jaune avec de grands rayons partant dans toutes les directions (Oji est ainsi symbolisé par un soleil riche dont le rayonnement va partout), sur un fond rouge (la richesse, le pouvoir).

Aspect et Société : La ville à l’aspect d’une cité Asiatique aux influences diverses. Géographiquement, Oji est situé dans une cuvette protégé par la mer, les montagnes, un fleuve et la jungle, ce qui la rend toutes attaques à son encontre très difficiles. Dans les montagnes alentours, au-delà des murailles de la ville, on trouve quelques villages de pêcheurs et des agriculteurs, qui cultive le riz notamment, et élève quelques bêtes. La cité fonctionne sur un système de caste, les enfants sont prédestinés au métier de leur parent et il est difficile de se détourner de cette voie. Malgré les inégalités présente du fait des castes, il existe globalement un certain respect mutuel même à l’encontre de personne bien moins riche que soi. Evidemment, certains dérogent à cette règle et il serait aussi faux de croire que tout le monde travail, la ville a elle aussi ses pauvres. Il existe une foule de religions à Oji et aucune ne semble se démarquer plus qu’une autre. Tolérante, on n’assiste pas à des problèmes entre faction dans la ville et elle est officiellement laïque.

Production et économie : Oji produit des objets de luxe et des objets techniques, mais aussi des tissus et divers produit comme de l’opium ou de l’encens. Elle possède aussi des ressources alimentaires de riz, d’élevage et de produits de la mer, commerçant principalement avec N’Bel Heim, un peu moins avec Port-la-Belle et pas du tout ou presque avec Zarhall et Rackaroch.

Relations Internationales : S’il y a parfois eu des tensions, Oji reste commercialement proche de N’Bel Heim et les deux nations se respectent. Elle entretient aussi de bonnes relations avec Port-la-Belle, les deux villes s’intéressant beaucoup l’une à l’autre sans pour autant devenir très fraternel. Oji s’entend aussi mal avec Zarhall que Rackaroch, qu’elle a déjà dû combattre par le passé et qu’elle considère comme étant arrogants et brutaux.

Le Gouvernement : Oji fonctionne sur un système de conseil composé de 6 membres. L’Hokage, le chef élu à vis des ninjas, le Shogun, le chef élu à vis des samouraïs, le Mandarin, chef élu pour une année par les religieux et les mages, le Maître des arts et des sciences, élu par le peuple pour 2 ans, le Représentant du peuple, élu par le peuple pour 2 ans, et le Trésorier, qui gère les finances et le commerce, élu par le chef du conseil. La direction du conseil change de main tous les ans, chacun des membres obtenant le pouvoir un an (qui reste tout de même un pouvoir parlementaire, les décisions se prenant par vote). La passation de pouvoir se fait chaque année suivant le schéma Hokage – Shogun – Mandarin - Maître des arts et des sciences - Représentant du peuple. Seul le trésorier ne préside pas, étant donné qu’il change tout les ans ou presque.

Les Groupes politiques et militaires :

- La Grande Armée : L’armée régulière d’Oji. Elle est composé d’engagés et peut grandir ses rangs en temps de guerre ou un homme de chaque famille à pour obligation de là rejoindre (tous faisant un service militaire à l’âge de 16 ans).
• Les soldats : Combattants de base, ils portent une armure légère et un bandeau atour du front, maniant un sabre. Seul les gradés ont le droit d’être cavaliers. Ils font souvent office de gardes et de policiers.
• Les Archers : Ils ont des arcs courts et couvrent l’avance des troupes.
• Machines de guerre : C’est le point faible d’Oji qui ne possède que quelques catapultes et des scorpions.
• Marine : Oji possède une grande flotte puissante, leurs navires sont les plus rapides et certains sont équipés de petits canons et de lance-flammes.

- Les Ninjas : Les Ninjas sont des individus d’origines sociales et ethniques diverses qui apprennent leur art dès leur plus jeune âge dans l’école des Ninjas d’Oji. Se sont des maîtres de l’espionnage, de l’assassinat, des arts martiaux et la plupart ont également des dons dans certaines écoles de magie. Portant des tenues légères et discrètes, leurs armes sont elles aussi d’un poids moindre, les Ninjas préférant la rapidité et l’agilité à la force brute. Ils agissent pour le gouvernement d’Oji mais louent également leurs services pour se financer (sous certaines conditions). Leur maître est l’Hokage, élu à vis par ses pairs.

- Les Samouraïs : Guerriers portant de belles et lourdes armures, ils manient le Katana dans un style de combat rapide, direct et puissant. Ils sont l’équivalent du chevalier de Rackaroch et leur code de l’honneur, le Bushido, est d’ailleurs assez semblable. Ils agissent sous les ordres du gouvernement, souvent en avant-garde de l’armée.

- Les Moines Shaolïns : Gardiens des croyances du peuple ojéen, ils vivent légèrement à l’écart dans un monastère. Au service de la foi mais aussi du pays, ces moines au crâne rasé et au mode de vie stricte et simple sont aussi de redoutables guerriers sachant manier toute sortes d’armes mais dont l’arme principale reste le corps. Sages, calmes et justes, ils ne sont guerriers qu’en ultime recours.

L'histoire des cinq cités et de Fusura Kagemu10


Dernière édition par le Sam 24 Nov - 1:20, édité 3 fois
Revenir en haut Aller en bas
Destin
Admin
Admin
Destin


Nombre de messages : 50
Cité dans Fusura : ...
Métiers dans Fusura : ...
Date d'inscription : 14/06/2007

L'histoire des cinq cités et de Fusura Empty
MessageSujet: Re: L'histoire des cinq cités et de Fusura   L'histoire des cinq cités et de Fusura Icon_minitimeVen 16 Nov - 16:29

N’BEL HEIM (Adjectif : N’Bélemiens).

L'histoire des cinq cités et de Fusura N_bel_10


Histoire : N’Bel Heim fut fondé aux environs de l’an 875 par un Pharaons perdus sur Fusura avec une partie de son armée. Puissant et charismatique, il parvint à faire venir à lui toute sortes d’individus et de barbares de la région qui bâtirent tous ensemble la cité de N’Bel Heim. Nourris par les crus du fleuve Nalon, les N’Bélemiens sont des inventeurs, des artistes et des mages, mais surtout des commerçants. Ils entretinrent très vite de bonnes relations avec leurs voisins et on estime aujourd’hui que cette cité serait la plus riche des cinq. Les assauts qu’elle subit par la suite contrainrent la cité à se doter d’un mur d’enceinte impressionnant et à former une grande armée, doté d’élite tel les cavaliers Mamelouks, les puissants Tirailleurs ou les inquiétants Immortels. L’emblème du pays est le fléau (le pouvoir, l’armée) et le bâton du berger (agriculture), croisé sur un fond vert (l’espoir).

Aspects et Société : La ville est d’aspect moyen-orientale, d’une architecture très empreinte des arts égyptiens, arabe et perse. Au-delà du grand mur d’enceinte impénétrable, on trouve de petits villages tout le long du fleuve Nalon qui sont rattachés à N’Bel Heim, de même que plusieurs tribus nomades du désert sont également rattachées à leur commandement. En matière de société, la cité fonctionne sur une économie de marché poussé qui fait la richesse de la ville mais qui marque également les inégalités sociales. Les N’Bélemiens sont de nature généreux, mais les petits dons fait aux mendiants n’efface bien sur pas la misère qui touche une minorité de la population. Globalement, les riches ont plus de pouvoirs que les pauvres.
Au niveau de la religion, la religion d’état est le Culte de la magie naturelle, qui célèbre plusieurs dieux. Cependant, tous les autres cultes sont tolérés, notamment le Culte de la haute magie qui croit en un dieu unique et en une série de règles à suivre scrupuleusement. Prenant en influence dans la ville, ces deux cultes étant les plus importants commencent à légèrement se menacer mutuellement.

Production et Economie : Libérale, N’Bel Heim est très riche et commerce avec tout le monde. Elle produit de la nourriture, notamment du riz, du blé, du bétail et des produits de la mer, mais la nourriture se vend principalement à l’intérieur de ses frontières. Ce qui fait sa richesse sont les soieries, l’encens, les produits alimentaires exotiques ou encore les connaissances et ouvrages, très appréciés à l’étranger.

Relations internationales : Oji reste le principal allié de N’Bel Heim, ils font beaucoup de commerce et s’aide parfois, mais leur relation en reste là, il n’y a pas d’accords spéciaux ou d’ouverture de frontières. Port-la-Belle est apprécié pour son mode de vie et ses produits de luxe mais, comme pour Oji, les N’Bélemiens se méfis quand même un peu et préfère les voir rester chez eux. N’Bel Heim n’apprécies pas beaucoup Rackaroch qu’elle trouve arrogante et s’en limite au strict minimum, ses relations avec Zarhall sont mêmes meilleures qu’avec les chevaliers. N’Bel Heim, en effet, se contrefiche de la politique intérieure de cette cité et tant qu’elle est pacifique, cordiale et prête a commercé, ce qu’elle fait depuis l’ère de paix, N’Bel Heim est très satisfaite.

Le gouvernement : Depuis toujours, N’Bel Heim est dirigé par un pharaon héréditaire qui as tout les pouvoirs. Il y eu plusieurs dynasties de pharaons et aujourd’hui certaines tâches sont délégués aux vizirs qui ont gagnés en responsabilités au fils des siècles. Pharaon nomme ainsi, lors de son ascension au trône, trois vizir pour des durés qu’il décide : le Vizir de l’économie et du commerce, le Vizir de la guerre et le Vizir des arts et des sciences. Vu l’importance de la religion, Pharaon est aussi entouré d’un Grand prêtre de la magie essentielle mais aussi, depuis 1335, d’un Grand imam de la Haute magie. Ses deux individus sont les « chefs » de leur religion élue à vis par leurs pairs. Ils doivent respecter les décisions de Pharaon et ne font office que de conseillés et de représentant des croyants.

Groupes Religieux :

- Le Culte de la Magie Essentielle : Aussi appelé « loyalistes ».Religion d’état depuis la création de la cité, ses adeptes (environs 40% de la population) crois en la magie essentielle, c'est-à-dire la magie qui existe à l’état naturelle et qui est « prêté » à l’Homme par la bénédiction des Dieux qui compose le monde (semblable aux dieux de l’Égypte antique, mais aussi aux panthéons moyen-orientaux en général). Pharaon étant de cette religion, le Culte se satisfait toujours pleinement de ses décisions et tient uniquement à ce que rien ne change, donc n’apprécies pas beaucoup la montée en puissance des réformateurs.
- Le Culte de la Haute Magie : Aussi appelé « réformateur ». Cette nouvelle religion naquit en N’Bel Heim il y a environ 100 ans et devint vite conséquente. Aujourd’hui près de la moitié des habitants sont de ce culte et il est représenté auprès du pharaon. Ses adeptes estiment que la magie est un don d’un Dieu unique fait aux Hommes mais que ceux-ci doivent s’en montrer digne en l’utilisant et en la transformant (la magie naturelle étant au départ dangereuse et maligne), en respectant ainsi toute sorte de fêtes et de rites pour honorer le Dieu. Certains s’inquiètent de la montée en puissance rapide de ce groupe et craigne qu’ils n’accèdent au pouvoir, plaçant leur culte avant celui de la magie essentielle. Il est également à savoir que les magiciens « non croyants » ne font quand à eux aucune distinction entre magie naturelle et haute magie.

Groupe militaire :

- L’Armée de Pharaon : L’armée de métier de N’Bel Heim, composés de soldats de métiers, peut doubler ses effectifs si besoin est à l’aide des hommes du peuple (chacun fait son service militaire à l’âge de 18 ans et ce durant 4 ans). Elle est composé de :

Fantassins : Les soldats de base de l’armée, la plupart sont équipés d’armes et d’armures disparates, faisant leur force dans le poids du nombre. Une partie est équipée de lances et de boucliers. Ils font aussi office de garde et de police.

Archers : Au même titre que les fantassins, ils portent des arcs courts qui couvre l’avance des troupes au combat.

Les Tirailleurs : Des guerriers du sud à la peau d’ébène qui viennent de village lointain rattachés à N’Bel Heim. Se sont des guerriers athlétiques et puissants portant des boucliers et des lances, considéré comme l’une des élites de la cité. Certains sont des monteurs de rhinocéros ou d’éléphants.

Les Mamelouks : Des cavaliers montés sur des chameaux ou des chevaux, considérés comme les meilleurs cavaliers qui soient. Ils sont armés de lances et d’épées et portent des armures légères. Beaucoup viennent de tribus nomades.

Les Immortels : Elite N’Bélemienne par excellence, se sont des professionnelles du combat portant des habits noirs et maniant des sabres (ils sont parfois montés), considérés comme un croisement de chevalier et de ninjas par ceux qui les ont combattus. Ils font aussi office de service de renseignements.

Machines de guerre : N’Bel Heim possède beaucoup de catapulte mais aussi quelques trébuchets, tours de siège et béliers.

Marine : La flotte N’Bélemienne est assez importante mais ses navires sont moins bien armés que les flottes d’Oji ou Port-la-Belle, ceux-ci préférant la capacité de transport à l’armement.

L'histoire des cinq cités et de Fusura Kingdo10


Dernière édition par le Sam 17 Nov - 14:38, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Destin
Admin
Admin
Destin


Nombre de messages : 50
Cité dans Fusura : ...
Métiers dans Fusura : ...
Date d'inscription : 14/06/2007

L'histoire des cinq cités et de Fusura Empty
MessageSujet: Re: L'histoire des cinq cités et de Fusura   L'histoire des cinq cités et de Fusura Icon_minitimeVen 16 Nov - 16:31

PORT-LA-BELLE (Adjectif : Port-la-Bellois).

L'histoire des cinq cités et de Fusura Port-l10


Histoire : Port-la-Belle fut fondé en 1022 par des gens venant de toutes les cités (principalement des campagnes de Rackaroch) et ayant un même rêve : celui de créer une citée pacifique et démocratique, tourné exclusivement vers les arts, les sciences, le commerce et la magie. La cité fut au départ très influencé par Rackaroch, l’allié proche et puissant mais un peu trop envahissant, et elle devait s’aligner sur lui très souvent. Au départ, Port-la-Belle fut une monarchie parlementaire, mais suite à des abus de pouvoirs et de graves problèmes sociaux une révolte éclata en 1189 lors du règne du tyrannique Thourout IV et vit par la suite l’avènement de la République et la fin du dictat Rackarois.
Bien que réussissant son pari de devenir une ville culturelle, Port-la-Belle se sentit menacé du fait de son manque de moyen militaire. Une grande politique de remilitarisation se mis en place suite à l’invention des premiers canons et mousquets (véritable avantage militaire de la cité) aux environs de 1310. Mais c’est là qu’éclata le « soulèvement des généraux », une partie de l’armée se révoltant pour remettre en place un régime monarchique et durcir les lois pour protéger la cité au mieux, la jugeant trop laxiste. La révolte échoua de justesse, mais cela porta un coup à la crédibilité de l’armée et marqua un peu plus le sentiment antimilitariste de la ville.
Même si aujourd’hui les choses sont revenus à la normal, Port-la-Belle, bien que culturellement rayonnante, est menacé du fait de sa petite taille et de son armé peu nombreuses, inexpérimenté et dont le seul atout et la maîtrise de la poudre. Qui plus es, le pays est très divisé politiquement. Par chance, elle n’a encore connus aucun conflit externe mais cela lui serait peut-être fatal. Son drapeau est jaune (la richesse) avec une fleur de Lys bleu marine au centre (symbole hérité de l’époque monarchique).

Aspect et société : La ville est assez petite mais avec un grand cœur historique. Les rues et bâtiments sont belles, tout est décoré, tirant sur des influences diverses, notamment européenne et méditerranéenne. Les régions alentours, composés de villages de paysans, sont également sous son influence. Le système commercial de la ville lui vaux d’afficher des inégalités sociales comme partout, cependant des sommes importantes sont consacrées chaque année à aider les plus démunis et à créer de l’emploi. C’est un état laïc.
Production et Economie : Port-la-Belle produit toute sortes de légumes, du blé, du maïs, des produits de la mer et des fruits. Elle est aussi réputée pour ses produits de luxe et ses créations artistiques. Tout cela s’exporte bien, mais pas en immense quantité car la cité est petite comparée aux autre. Elle importe à grand prix des métaux de Zarhall, la seule citée qui lui en vend, ne possédant pas de mines de fer, seulement de charbon et de zinc.

Relations Internationales : N’Bel Heim et Oji sont appréciés comme territoires « exotiques » et leurs cultures intéressent les Port-la-Bellois, même s’ils se méfient globalement de ces peuples lointains et étranges. Rackaroch, bien qu’allié principal, est souvent critiqué à cause de son arrogance et de son système trop stricte et violent. Zarhall est bien sur mal vue, mais pourtant tout le monde accueil avec joie la paix qui existe maintenant et espère même que cela aura une bonne influence sur la noire citée.

Le Gouvernement : Le Président est élu pour 5 ans au suffrage universel direct par tout le peuple. Il possède le pouvoir exécutif. Les ministres, le Ministres des finances (commerce et économie), le Ministre de la Défense (armée et justice), le Ministre de la culture (arts, sciences, éducation), le Ministre des affaires ecclésiastiques et magiques et le Ministre des affaires sociales (loisirs et santé) ont leurs élections programmée deux ans et demi après (ou avant, ça marche aussi) celle du président, ils sont élus de le même manière et aussi pour 5 ans. Ils possèdent le pouvoir législatif et prennent leurs décisions par votes.

Groupes Politiques :

- Les Républicains : Ils existent depuis la révolte de 1189. Actuellement à la tête de la cité, les Républicains sont qualifiés de conservateurs, souhaitant que peu de choses ne changent afin de maintenir l’équilibre qui est celui de la cité depuis l’avènement de la République. Ils prônent une économie de marché fonctionnant sur des règles de concurrences, sans pour autant laisser pour compte le peuple, mais acceptant qu’il existe néanmoins des disparités sociales.
- Les Démocrates : Née environ 30 ans après la révolte, principale groupe d’opposition, ils souhaitent conserver le système républicain mais veulent grandement le changer, notamment par des ouvertures sociales conséquentes, augmentant les droits et le niveau de vie du peuple et effaçant petit à petit les disparités sociales.
- Les Communistes : Créée durant le soulèvement des généraux, Ils dénoncent les avantages des dirigeants et des riches de la ville, alors qu’une partie de la population est pauvre ou travail trop. Ils se placent toujours du côté du simple citoyen et tentent de faire valoir ses droits. Leur but ultime serait de mettre en place mondialement un système ou l’économie et les biens seraient collectivisés et redistribués équitablement entre tous, mais d’autres rétorquent qu’un tel système serait impossible à mettre en place ou dégénérerait en dictature.
- Les Monarchistes : Groupe conservateur, influencé par certaines religions et plutôt xénophobes pour certains, les Monarchistes prône un retour à l’ancien régime, à un durcissement des lois et à la fin de « l’état de grâce ». Ils souhaitent aussi une remilitarisation complète de la ville pour lutter efficacement contre les menaces possibles venant de l’étranger.

Groupe Militaire :

- La Garde Républicaine : C’est l’armée régulière de Port-la-Belle qui, bien que peu nombreuse et parfois mal armée, est la seule à posséder des régiments complets d’hommes armées de mousquets et possédant des canons. Il n’y a pas de service militaire, seulement une armée de métier. Elle est composée des éléments suivants :
• Les gardes : Ce sont les éléments de base de l’armée. Ils portent de beaux uniformes qui varient selon leur compagnie mais toujours dans des teintes le plus souvent blanches, et sont armé de hallebardes et de rapières (ou sabres) porté à la ceinture. Ils font aussi office de policiers qui aide les enquêteurs.
• Les mousquetaires : Vêtus à la façon des gardes mais de couleur bleu ou noir, ceux-ci sont armés de mousquets, tandis que les novices s’arment d’arbalète. C’est l’élite de la ville, car ils sont également de fine lame équipée à la ceinture d’une rapière ou d’un sabre.
• La cavalerie : Même costume que les mousquetaires mais en plus chic, la cavalerie portent souvent de grands casques ou chapeaux à panaches et est armés de lances et de sabres. Des chiens les accompagnent souvent.
• La marine : Composé de plusieurs navires de différentes tailles, allant des frégates aux croiseurs, leurs navires sont bardés de canons et sont redoutés sur les mers.
• Machines de guerres : Composé essentiellement de canons de différentes tailles et portés. Leurs serviteurs ont des uniformes de couleurs variantes.
• Service de renseignements : Composé d’espions, c’est une branche secrète chargé de mener des opérations confidentielles. Le directeur est nommé par le ministre de la défense.

L'histoire des cinq cités et de Fusura Banque10
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





L'histoire des cinq cités et de Fusura Empty
MessageSujet: Re: L'histoire des cinq cités et de Fusura   L'histoire des cinq cités et de Fusura Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
L'histoire des cinq cités et de Fusura
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le Monde De Fusura :: Généralités :: L'histoire de Fusura et les règles-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser